More about a dementia girl

[Elisa]

Prénom: Elisa
Nom: Slahrina
Age: 21 ans
Taille: 1m64
Armes: Mon corps est une arme ...
Passé: Une grande guerre marqua mon paisible territoire : Dalmasca. Nous nous sommes battu mais nous avons fléchi entre les deux géants qui nous entouraient. Mes parents étaient des diplomates et en tant que tels, ils tentèrent des négociations avec Rozarria. Ces dernières furent sur le point d'être signées lorsque mes parents furent assassiné par un traitre à la solde d'Archadia. Affolée, j'annonça à mon bon roi que Rozarria ne désirait que notre ruine et la preuve fut qu'ils avaient rompu les négociations en exterminant mes parents sur le propre sol. Aurais-je oublié de vous mentionner que ce traite .. c'était moi ?
Mes motivations ? Vous les saurez peut-être un jour mais soyez sûrs du coté où je me trouve ...
Les termes "honneur, respect, amitié et devoir" me sont étrangers. Maintenant, je suis libre de tout parti, contactez moi et je pourrais vous être utile.

Historique :

Le soir où tout bascule.
- Seigneur Vayne, mes parents vont bientôt signer les négociations avec Rozzaria. Dalmasca sera soutenue et vos efforts ne renverseront pas le roi.

- Bien, la solution est simple, non ? Tues-les et fais passer cela pour Rozzaria.

- Bien, Seigneur.

Cette nuit là, je n'eus aucune peur dans mes actes. Je me dirigea dans la salon où nous mangions. Nos hôtes avaient bien su nous accueillir. Je les regarda, parlant expressément avec de la nourriture en bouche.

- Alors comme ça, demain, nous serrons sauvés ?

- Oui, ma fille [père]
- Rozzaria n'est pas aveugle [mère]

- Non évidemment et vous êtes fins !

Ils rirent de bon cœur et ma mère se leva pour aller aux endroits privés ...

- Père ? Peux tu me passer le vin.

- Oui ! Ça se célèbre, ça !

Il se pencha et aussi vite, je me jeta sur lui, décalant sa trachée avec deux doigts. Mon père était hoquetant et tomba renversant la table en grand bruit. Je me mis directement à coté de la porte où ma mère entra en trombe, à moitié nue de part sa précédente occupation hygiénique. Mon avant-bras passa devant sa gorge et je l'étrangla sans bruit.

- Bonne nuit ... Mama-san.

Ses yeux gonflèrent lorsqu'elle comprit que c'était moi. C'était trop tard pour elle et elle afficha une expression terrifiante.

- Je n'aime vraiment pas ça, Seigneur Vayne ... Mais après tout ...

Elle planta profondément une dague dans son épaule et se mit à courir, cherchant immédiatement un moyen pour se rapatrier et prévenir le roi des intentions -inventées par mes soins- de Rozzaria. j'envoyai ma lettre mais je fus attrapé par un prince de ce pays qui avait les armes pour défendre Dalmasca. Je fus enfermée ... Il se doutait que c'était moi mais n'avait aucune preuve.

[Elisa]

Mon internement.

J'étais dans une prison puante et poussiéreuse. Des gens mourraient ici et beaucoup étaient terrifiés. Ce fut pire que l'enfer en ce lieu mais le meilleur terrain d'entraînement que j'aie connu de ma vie : ces porcs masculins étaient heureux de pouvoir grignoter la pureté d'une femme.

Très rapidement, je fus encerclée de plusieurs hommes. Ils ricanaient, ils s'imaginaient sans doute une proie facile à savour..

- Si j'étais vous, je réfléchirai deux fois avant de m'attaquer.

Je tendis un bras en avant, courbant lentement les genoux et jeta l'autre en arrière. Je resta ainsi pour m'assurer un angle quasi ouvert sur tous mes adversaires lorsqu'un seeq s'avança vers moi et d'un bond, je sauta vers lui.

- Cécité.

Deux des doigts de ma main droite vénèrent rencontrer les yeux de cet énorme seeq. Un balayage suivit et il tomba au sol, hurlant pour ses yeux perdu. Je laissa l'un de mes genoux tomber sur son cou, il fut rompu sous le choc. Élisa venait de marquer sa présence et défendit son droit. Elle n'avait pas l'intention d'être un jouet pour désespérés et bien des fois on l'attaqua mais elle s'en défendit toujours et elle pu entraîner sa technique au corps à corps en toute sérénité : c'était un lieu de banditisme, personne ne les pleurera davantage.

Elle put donc s'entraîner jusqu'à qu'on décide qu'il était préférable de la savoir morte qu'en vie. Un gardien vient et me mit de lourdes menottes dont je mima la lourdeur en pendouillant mes bras, montrant qu'il m'était difficile de les lever.

- Vous avez pas plus lourd !?

- Ta gueule et marche.

- ... Crétin.

- Quoi ?

Le garde se retourne et je lui donna un coup de pied entre les jambes. Il tituba de douleur, son objet sensible mit à rude épreuve, je n'eus aucune difficulté à me retrouver derrière lui et avec les lourdes chaines que je levas finalement avec aisance. Je viens rapidement l'étrangler. Il périt lentement. Je saisis son épée courte et avant qu'on ne remarque son absence -et la mienne- et je cavala vers les égouts dont je fis sauter la taque avec l'épée qui se brisa malheureusement.

Malgré l'état poisseux et puant des conduits, jamais je ne fus aussi rapide. Je tomba nez-à-nez avec une déjection sur une grosse rivière ... Et des rapides ... C'était une chance sur deux ... Je me jeta à corps perdu, mon corps se tournant dans tout les sens, récupérant de l'air là où je le pouvais, mon crâne se heurta plusieurs fois à je ne sais quoi ...

Mon corps dériva plusieurs heures avant que je ne reprennes connaissance : j'étais libre. Je devais rejoindre mon seigneur et l'aider à remplir ses objectives. Comme ça, je serai éternellement honorée et libre !

[Génésis Rhapsodos]

Bon bah apparemment je suis le premier bienvenue et amuse toi bien !

[Invité]

Mlheuresement non tu n'es pas le premier car ça c'est pour nous en dire plussur son personnage qui cache bien des mystères

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